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A propos

Présentation

Je m’appelle Caroline Midoun, rédactrice et administratrice du blog cuisinenaturelle.com depuis 2015, également connue sous le nom de Caroline Cuisine sur les réseaux sociaux. Originaire de Montpellier, au cœur du bassin méditerranéen, je suis animée par l’envie de partager des recettes savoureuses, saines, sans gluten et végétaliennes. Titulaire d’un BTS en assistance secrétariat trilingue, je suis aussi passionnée par les voyages et les rencontres, qui favorisent l’ouverture d’esprit, la tolérance et développent l’intelligence émotionnelle. De nature bienveillante et autodidacte, j’adore apprendre, m’enrichir et transmettre. Passionnée par la santé naturelle, le bien-être, la protection des animaux et de l’environnement, ainsi que la spiritualité, je m’intéresse aussi à la découverte de nouvelles cultures, notamment grâce au CouchSurfing qui connecte les voyageurs du monde entier. Pour moi, s’enrichir humainement est essentiel, et la cuisine est un merveilleux moyen de partage et d’amour. ♥

Marque “cuisine naturelle sans gluten ni lait” déposée en 2017 à l’INPI.

Mon parcours santé

Errance médicale

À l’automne 2009, à l’âge de 20 ans, ma vie a basculé. Comme beaucoup de jeunes, j’ai contracté le virus d’Epstein-Barr, responsable de la mononucléose. Ce n’est que six mois plus tard, grâce à des analyses de sang, que j’ai découvert l’infection. À cette époque, mon système immunitaire était affaibli, j’étais en proie à un stress intense, et une fatigue chronique s’est installée de manière persistante. Plus précisément, il s’agissait d’un épuisement chronique, accompagné de symptômes supplémentaires tels que des douleurs abdominales constantes, des douleurs articulaires et musculaires, entre autres. Cette chute drastique de vitalité a eu un impact profond sur mon moral. Les médecins et spécialistes consultés à ce moment-là ne détectaient aucune anomalie dans mes bilans sanguins, à l’exception de la présence du virus Epstein-Barr. Face à l’absence de marqueurs biologiques et l’exclusion de toute maladie grave connue, les professionnels de santé se sont tournés vers une explication psychologique pour justifier cette “fatigue chronique”, malgré ma nature positive et joyeuse. Heureusement, je n’ai pas baissé les bras et j’ai continué à chercher en profondeur pour comprendre les véritables causes de cet épuisement inhabituel.

Encéphalomyélite myalgique – syndrome de fatigue chronique (EM-SFC)

Diagnostic

Durant ces années d’errance médicale, j’ai été suivie en médecine interne, où un diagnostic a finalement été posé en 2012 : encéphalomyélite myalgique (EM), également connue sous le nom de syndrome de fatigue chronique (SFC). Cette maladie neurologique grave, reconnue par l’OMS depuis 1969, est extrêmement invalidante, chronique, et malheureusement encore trop méconnue et sous-estimée par le corps médical en France. J’ai rédigé un article dédié à cette pathologie, où je détaille les symptômes, le processus de diagnostic, et les répercussions sur la vie quotidienne. Malgré tout, je reste optimiste et partage des conseils pour mieux accepter et vivre avec cette maladie. Dans cet article, je propose également des outils pour améliorer la qualité de vie, bien qu’il n’existe pas, à ce jour, de traitement reconnu comme efficace. Le repos, l’éloignement du stress, et le refus de la rééducation à l’effort, qui est fortement déconseillée en raison des risques de malaises post-effort, sont essentiels pour mieux gérer cette condition.

Ressources encéphalomyélite myalgique

Consultation médicale avec Docteur Cozon à Lyon

J’ai été écoutée et comprise, et des solutions concrètes m’ont été proposées. Depuis, je prends quotidiennement des compléments tels que l’extrait de pépins de pamplemousse (EPP), des probiotiques, de la vitamine D, du magnésium, de la B12, ainsi qu’une poudre blanche magistrale riche en minéraux.

J’ai également ajusté certaines de mes habitudes alimentaires, en éliminant la levure et les moisissures de mon régime. Une nouvelle pratique que j’ai adoptée consiste à congeler systématiquement les restes de repas au lieu de les conserver au réfrigérateur. Bien que j’aie suivi ces recommandations avec rigueur pendant quelques années, j’ai appris à relâcher un peu, car cela peut être contraignant. Je reste toutefois vigilante, en évitant de conserver trop longtemps des denrées périssables ouvertes au réfrigérateur, afin de prévenir la prolifération de mauvaises bactéries, car le réfrigérateur peut en être un foyer.

Intoxication aux métaux lourds

Allergies cutanées

Opération des mâchoire et menton

Pour corriger ma béance labiale et prévenir d’éventuelles complications, telles que l’apnée du sommeil causée par la respiration buccale, j’ai décidé de suivre un parcours orthodontique et chirurgical. J’ai débuté le traitement orthodontique avec des bagues en 2020. En 2021, j’ai subi ma première opération, comprenant l’avancée de la mâchoire supérieure (ostéotomie maxillaire), de la mâchoire inférieure (ostéotomie mandibulaire) ainsi que de l’avancée du menton (génioplastie). En 2022, j’ai demandé au chirurgien de retirer les dispositifs (plaques et vis) car je ne voulais pas garder de corps étrangers sur mon visage.

Mon alimentation

En 2011, les informations sur les intolérances alimentaires étaient encore limitées en France, ce qui rendait difficile le fait de bien manger, d’autant plus que je ne savais pas vraiment cuisiner. Cela a été un véritable défi ; j’ai dû tout apprendre et comprendre par moi-même. Au début, j’ai essayé de lire les étiquettes des produits sans vraiment savoir ce qu’elles signifiaient. J’ai également perdu 10 kilos en cherchant ce que je pouvais manger, mais j’ai réussi à reprendre ces kilos par la suite. Il est normal de perdre du poids au début, le temps de trouver ses repères et de développer de nouvelles habitudes.

Depuis ma rencontre avec le Docteur Cozon, j’ai réussi à retrouver mon poids de forme de manière assez rapide et naturelle. Aujourd’hui, je cuisine presque tout moi-même. Mon alimentation est variée, saine, gourmande et colorée. Je préfère la cuisson à la vapeur douce pour la majorité des légumes ou je les passe à l’extracteur de jus pour enlever les fibres. Cependant, je veille toujours à inclure une portion de légumes crus dans mon assiette, que je consomme en premier. J’utilise également des herbes aromatiques et des épices pour faciliter la digestion. Je partage tous mes conseils pour une alimentation saine lors de mes séances de coaching privé.

J’ai également découvert le régime pauvre en FODMAPs, qui consiste à éliminer les aliments fermentescibles — ceux qui fermentent dans l’intestin et peuvent provoquer des troubles digestifs tels que ballonnements, douleurs abdominales ou diarrhées. Le principe est de supprimer toutes les catégories d’aliments riches en FODMAPs pendant six semaines, puis de les réintroduire progressivement pour identifier les éventuelles réactions. L’objectif est de déterminer quelles catégories d’aliments sont mal tolérées afin de les réduire, les limiter ou les éliminer pour améliorer le bien-être digestif.

Alimentation sans lactose ni produits laitiers

Depuis 2011, j’ai effectué divers tests pour identifier des intolérances alimentaires. Le “breath test” a révélé et confirmé une intolérance au lactose. Ce test mesure la présence d’hydrogène dans l’air expiré après ingestion de lactose, ce qui indique une mauvaise digestion de ce sucre. En réponse à ce diagnostic, j’ai ajusté mon alimentation en éliminant les produits laitiers contenant du lactose et en cherchant des alternatives sans lactose. Cette démarche m’a aidée à mieux gérer les symptômes et à améliorer mon confort digestif au quotidien.

Les symptômes d’une intolérance au lactose peuvent inclure :

  • Ballonnements abdominaux : Sensation de gonflement et d’inconfort dans l’abdomen.
  • Douleurs abdominales : Crampes ou douleurs au niveau du ventre.
  • Gaz : Production excessive de gaz intestinaux, souvent accompagnée de flatulences.
  • Diarrhée : Évacuation fréquente et liquide des selles.
  • Nausées : Parfois accompagnées de vomissements, surtout après une ingestion importante de lactose.

En parallèle de l’intolérance au lactose, il est important de distinguer l’intolérance aux protéines de lait, notamment la caséine. La caséine est une des principales protéines présentes dans le lait et les produits laitiers.

Les symptômes d’une intolérance à la caséine peuvent inclure :

  • Réactions cutanées : Éruptions cutanées, démangeaisons ou eczéma.
  • Symptômes respiratoires : Congestion nasale, toux ou asthme.
  • Problèmes digestifs : Douleurs abdominales, ballonnements, diarrhée ou constipation.
  • Fatigue : Sentiment général de fatigue ou de faiblesse.
  • Troubles neurologiques : Maux de tête, migraines ou troubles de l’humeur.

Contrairement à l’intolérance au lactose, qui est causée par une déficience en lactase (l’enzyme responsable de la digestion du lactose), l’intolérance à la caséine est une réaction du système immunitaire contre la protéine du lait. Les deux conditions nécessitent des ajustements alimentaires, mais les approches peuvent différer. Pour gérer l’intolérance à la caséine, il est essentiel d’éviter tous les produits contenant de la caséine, même ceux étiquetés comme sans lactose.

Alimentation sans gluten

Depuis 2012, j’ai été diagnostiquée avec une hypersensibilité au gluten non cœliaque. Une coloscopie a permis d’écarter la maladie cœliaque, qui est une intolérance au gluten avérée. Il est important de noter que pour diagnostiquer correctement la maladie cœliaque, il ne faut pas avoir arrêté le gluten avant de réaliser une coloscopie ou une gastroscopie, sinon les tests peuvent ne pas détecter la présence de la maladie.

En revanche, il n’existe actuellement pas de test spécifique et fiable en France pour détecter l’hypersensibilité au gluten non cœliaque. Le diagnostic se fait généralement par l’exclusion du gluten de l’alimentation pendant plusieurs semaines, suivie d’une observation des améliorations des symptômes, ou de leur disparition.

Les symptômes courants de l’hypersensibilité au gluten non cœliaque incluent :

Problèmes cutanés : Éruptions cutanées ou démangeaisons.

Ballonnements abdominaux : Sensation de gonflement et d’inconfort dans le ventre.

Douleurs abdominales : Crampes ou douleurs persistantes au niveau de l’abdomen.

Fatigue : Sentiment général de faiblesse ou de lassitude.

Maux de tête : Migraines ou céphalées fréquentes.

Troubles digestifs : Diarrhée, constipation ou autres inconforts intestinaux.

Alimentation végétalienne

Depuis 2016, j’ai éliminé la viande et le poisson de mon alimentation, choisissant de ne pas consommer d’animaux terrestres ou aquatiques morts. En France, où l’on trouve une grande variété d’aliments riches en protéines, cela ne représente pas une contrainte pour moi. Cette décision a amélioré mon bien-être tant physique que mental.

Alimentaton anti-inflammatoire

Aucun traitement reconnu n’a prouvé son efficacité pour améliorer l’EM-SFC, rendant nécessaire une prise en charge pluridisciplinaire. À l’époque, je souffrais de douleurs abdominales constantes. Face à l’impuissance de ma médecin traitante, j’ai décidé de mener ma propre enquête sur Internet. Il était clair pour moi que d’autres personnes souffraient comme moi et que le stress n’était pas toujours la cause des douleurs lorsque l’origine restait inconnue. Malgré mon épuisement, j’ai persévéré pour identifier les causes de ces douleurs. C’est ainsi que j’ai découvert les notions de lactose et de gluten, qui étaient jusqu’alors inconnues pour moi en 2011. Mes recherches sur les intolérances alimentaires ont confirmé qu’elles étaient en effet l’une des principales causes de mes maux de ventre.

Jeûne intermittent

Je pratique presque quotidiennement le jeûne intermittent, durant lequel je jeûne pendant 16 heures. Concrètement, cela signifie que je saute un repas : je ne mange pas le matin et j’évite de manger tard le soir. En d’autres termes, je mange sur une fenêtre de 8 heures durant la journée. Par exemple, je dîne à 20h et prends mon déjeuner le lendemain à 12h. Bien que je n’aie pas toujours donné de nom à cette pratique, je l’avais déjà adoptée naturellement. Ce temps de repos digestif offre à mon corps l’énergie nécessaire là où il en a le plus besoin : pour le cerveau, pour l’énergie physique, et même pour une guérison plus rapide d’un rhume, entre autres. C’est un cadeau quotidien que l’on se fait : une régénération chaque jour. Vous pouvez également choisir de manger le petit-déjeuner et le déjeuner, puis de sauter le dîner, selon ce que vous ressentez.

Après plusieurs années de pratique, je constate que mon corps et mon esprit s’habituent à cette routine, me permettant presque de ressentir la “vraie faim”. Je dis “presque” car on ne peut véritablement éprouver la sensation de faim qu’après une période prolongée de jeûne continu. Souvent, nous mangeons par habitude ou en réponse aux horaires dictés par la société. Personnellement, je préfère écouter mon corps : je mange quand j’ai faim et je ne mange pas quand je n’ai pas faim. J’apprends à identifier les “faims émotionnelles” qui visent simplement à combler un manque, comme la tristesse, l’ennui ou la colère. Je vous encourage à essayer, c’est fascinant de redécouvrir son propre corps et ses véritables besoins.

Retraite de jeûne de 7 jours

À l’automne 2023, je me suis offert une semaine de jeûne dans un cadre idyllique : la forêt Vosgienne. Ce séjour combinait jeûne et randonnées, et ce fut une expérience extrêmement enrichissante. J’ai été entourée de guides de jeûne très compétents et passionnants, ainsi que d’une petite équipe de jeûneurs particulièrement charmante. Pour beaucoup d’entre nous, c’était la première expérience de jeûne.

À la fin de l’été 2024, j’ai entrepris mon deuxième jeûne, cette fois en Ardèche. Il s’agissait d’un jeûne hygiéniste, axé sur le repos du corps pour une détoxification plus efficace. J’ai traversé une crise d’acidose, mais par la suite, j’ai ressenti un regain significatif d’énergie. J’ai conclu ce jeûne avec une demi-journée de réintroduction alimentaire, en consommant des légumes ou des fruits à croquer toutes les deux heures l’après-midi.

Mes services: pour les particuliers

Coaching en ligne

Je vous accompagne dans votre transition vers une nouvelle alimentation :

  • sans gluten
  • sans lactose ni produits laitiers
  • sans oeuf
  • sans sucre ajouté
  • sans viande ni sans poisson

L’expérience et la bienveillance sont essentielles pour une transmission efficace des connaissances. L’échange et le retour d’expérience jouent un rôle crucial. L’interactivité permet de gagner du temps et de l’énergie. Le coaching en direct et personnalisé permet non seulement de répondre à vos questions, mais aussi de les anticiper.

Cours de cuisine

En 2012, j’ai choisi de suivre des cours de cuisine sans gluten, sans lactose et végétarienne. Pour cela, je suis allée à Pau pour quelques jours d’immersion avec Pilar Lopez, ancienne participante végétarienne de MasterChef. Cette expérience a été un véritable révélateur pour moi. Ce qui avait commencé comme une contrainte est devenu une véritable passion. Les cours, alliant théorie et pratique, m’ont permis de découvrir les nombreux bienfaits d’une telle alimentation. Les couleurs, les textures et les nouvelles saveurs ont éveillé en moi un désir profond d’explorer davantage ce monde culinaire. Initialement, je suivais des recettes tirées de livres et de blogs, mais très vite, j’ai laissé libre cours à mon imagination pour créer mes propres recettes. J’ai travaillé intensivement sur la texture, le goût et l’aspect visuel de mes plats. Aujourd’hui, mes créations ravissent aussi bien les vegans que les omnivores, et je prends un immense plaisir à partager mes inspirations culinaires.

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Mes partenariats d’affiliation

Je vous invite à découvrir ci-dessous les entreprises avec lesquelles je collabore. Je fais preuve de transparence en sélectionnant uniquement les marques avec lesquelles je souhaite établir des partenariats durables. Il est essentiel pour moi de vous recommander des produits que je consomme ou utilise et dont je suis entièrement satisfaite. Bien que ces produits ou services aient un coût, ils sont de haute qualité. Je privilégie toujours la qualité sur la quantité.

Mes partenaires de confiance

Témoignages cours de cuisine

Témoignages coaching privé

Positivité et bienveillance

Cuisiner, manger et partager une alimentation sans gluten et sans cruauté animale m’apporte un grand bien-être physique et émotionnel. Adopter ce mode de vie a non seulement renforcé mon tonus et ma vitalité, mais a également considérablement réduit mes douleurs abdominales, me rendant ainsi plus heureuse et sereine. Chaque jour, j’apprends et j’ajuste mon alimentation en fonction des signes que mon corps m’envoie.

Manger “sans” ne doit pas être perçu comme une contrainte, mais comme une prise de conscience. Une cuisine riche en nouvelles saveurs s’offre à vous. On pourrait croire qu’on est privé de nombreux aliments, mais en réalité, on découvre une variété insoupçonnée de farines et céréales sans gluten, de légumes, de graines, d’épices, de légumineuses, et d’alternatives végétales. Vous mangerez plus varié, plus coloré et moins transformé. Accordez-vous le temps de vous adapter et de réapprendre à cuisiner différemment. Conserver des aliments de base secs dans des bocaux peut stimuler votre créativité. Apprenez à utiliser les légumes en fin de vie pour éviter le gaspillage et ouvrir votre esprit à de nouvelles possibilités. Cette approche alimentaire, axée sur la conscience, permet de préparer des repas simples, rapides, sains et délicieux ! Une cuisine saine peut être rapide avec un peu d’organisation et de connaissances. Prendre plaisir à manger est essentiel, et il est toujours gratifiant de partager cette cuisine, surtout lorsqu’elle est appréciée. ♥

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